Visite Centre de Tri
Visite du centre de tri et du centre d'enfouissement technique organisée par le SIVOM effectuée par les élèves des deux classes de
5ème avec les professeurs: Mme Faye - SVT, Melle Rodier - Anglais, Mr Eloi - Physique/Chimie
Compte rendu de la visite du SIVOM
Par Adrien Sibaud (5ème2)
I. Le centre de tri
A l’entrée du centre de tri, on y trouve plein de briques de lait, de conserves et de cannettes entourées de fil de fer ce qu’on appelle des balles.
Les déchets sont envoyés à l’étranger pour fabriquer d’autres objets. Les sacs bleus des poubelles contiennent du papier, du carton, tandis que les sacs jaunes contiennent les conserves, les bouteilles en plastique etc.
Dans le bâtiment où s’effectue le tri, se trouve une énorme machine – le Gyrotri – autour de laquelle il y a plein de compartiments : il y en a un pour les cannettes, un pour les bouteilles etc. En haut de la machine il y a des personnes qui s’occupent du tri.
Les conserves sont fondues puis revendue pour en fabriquer d’autres à l’étranger. A côté du bâtiment, il y a un gigantesque tas de ferraille. Une pelleteuse s’occupe de trier ce qui peut se garder et ce dont on n’a pas besoin. On garde le cuivre et les matériaux qui coûtent chère. Le reste de la ferraille est vendu au nord de la France. La tonne de ferraille coûtait 80€/tonne, tandis que maintenant cela coûte que 15€/tonne.
Derrière le tas de ferraille, il y un tas de vois et un tas de bois traité. Les Italiens rachètent le bois traité pour fabriquer du contreplaqué. Le bois non-traité est utilisé dans les chaufferies en tant que combustible.
La machine qui effectue le tri vaut 300 000 € et la machine qui perse les sacs-poubelles que M. Claustre vient d’acheter et qui va être utilisée au lieu de les défaire à la main, vaut 50 000€.
II. Le centre d’enfouissement technique
Après le centre de tri, on va au centre d’enfouissement technique. Le centre d’enfouissement technique est dirigé par Véolia. Ils récupèrent tous les déchets verts comme les branches d’arbres, l’herbe qui a été coupée, pour en faire du composte, le terreau. Ils reçoivent 1200 tonnes de végétaux verts par an.
Un peu plus loin il y a des bacs pour les pneus, pour le papier, pour l’huile etc. Il y a aussi un étang où est stockée l’eau de pluie en cas d’incendie à la déchetterie.
Arrivé à l’endroit où les camions versent leurs déchets il y a plein d’oiseaux (des rapaces mais aussi des mouettes). Les camions poubelles contiennent 7 à 8 tonnes de déchets dans leur benne. Il y a 7 camions par jour qui viennent donc presque 8000 tonnes de déchets par an.
Pour ne pas polluer le sous-sol, ils ont mis une bâche sous les déchets, encore une bâche entre les déchets. Par dessus on met des graviers, plus de la terre, et a la fin de la végétation.
Un compacteur s’occupe d’aplatir les déchets pour pouvoir recevoir plus de déchets sur place.
Compte rendu de la visite du SIVOM
Par Adrien Sibaud (5ème2)
I. Le centre de tri
A l’entrée du centre de tri, on y trouve plein de briques de lait, de conserves et de cannettes entourées de fil de fer ce qu’on appelle des balles.
Les déchets sont envoyés à l’étranger pour fabriquer d’autres objets. Les sacs bleus des poubelles contiennent du papier, du carton, tandis que les sacs jaunes contiennent les conserves, les bouteilles en plastique etc.
Dans le bâtiment où s’effectue le tri, se trouve une énorme machine – le Gyrotri – autour de laquelle il y a plein de compartiments : il y en a un pour les cannettes, un pour les bouteilles etc. En haut de la machine il y a des personnes qui s’occupent du tri.
Les conserves sont fondues puis revendue pour en fabriquer d’autres à l’étranger. A côté du bâtiment, il y a un gigantesque tas de ferraille. Une pelleteuse s’occupe de trier ce qui peut se garder et ce dont on n’a pas besoin. On garde le cuivre et les matériaux qui coûtent chère. Le reste de la ferraille est vendu au nord de la France. La tonne de ferraille coûtait 80€/tonne, tandis que maintenant cela coûte que 15€/tonne.
Derrière le tas de ferraille, il y un tas de vois et un tas de bois traité. Les Italiens rachètent le bois traité pour fabriquer du contreplaqué. Le bois non-traité est utilisé dans les chaufferies en tant que combustible.
La machine qui effectue le tri vaut 300 000 € et la machine qui perse les sacs-poubelles que M. Claustre vient d’acheter et qui va être utilisée au lieu de les défaire à la main, vaut 50 000€.
II. Le centre d’enfouissement technique
Après le centre de tri, on va au centre d’enfouissement technique. Le centre d’enfouissement technique est dirigé par Véolia. Ils récupèrent tous les déchets verts comme les branches d’arbres, l’herbe qui a été coupée, pour en faire du composte, le terreau. Ils reçoivent 1200 tonnes de végétaux verts par an.
Un peu plus loin il y a des bacs pour les pneus, pour le papier, pour l’huile etc. Il y a aussi un étang où est stockée l’eau de pluie en cas d’incendie à la déchetterie.
Arrivé à l’endroit où les camions versent leurs déchets il y a plein d’oiseaux (des rapaces mais aussi des mouettes). Les camions poubelles contiennent 7 à 8 tonnes de déchets dans leur benne. Il y a 7 camions par jour qui viennent donc presque 8000 tonnes de déchets par an.
Pour ne pas polluer le sous-sol, ils ont mis une bâche sous les déchets, encore une bâche entre les déchets. Par dessus on met des graviers, plus de la terre, et a la fin de la végétation.
Un compacteur s’occupe d’aplatir les déchets pour pouvoir recevoir plus de déchets sur place.